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When:
October 25, 2017 @ 17:30 – 20:30
2017-10-25T17:30:00-04:00
2017-10-25T20:30:00-04:00
Where:
Université d’Ottawa
Bâtiment Desmarais
salle 1110
avenue Laurier est

 

 

 

 

 

Le Groupe de réflexion sur l’Afrique en partenariat avec le réseau ouvert de recherche et d’innovation en Afrique (Open AIR) présentent : «Qu’est-ce qu’une politique d’aide canadienne féministe pourrait vouloir dire pour l’Afrique?»

Un panel avec Mariam Diallo (fondatrice de l’ONG malienne Femmes, Leadership et Développement durable), Ketty Nivyabandi (Nobel Women’s Institute) et Jane Parpart (professeur invité Université d’Ottawa et Carleton University) présenté par Marcia Burdette. Les présentations seront en anglais, mais des questions et commentaires en français sont les bienvenus.

PROGRAMME

  1. Bienvenue et commentaires: Bruce Montador Président, GRA
  2. Panel
  3. Présentation des panelistes – Marcia Burdette
  4. Discussion

Bios:

Mariam Diallo Drame

Dix années d’expérience dans la promotion du leadership des jeunes, de l’égalité genre, du droit et du bien-être de la femme et de l’enfant. Diplômée de sciences politiques de l’Université de Montréal. Mariam fut la Coordinatrice Régionale Afrique Subsaharienne du Réseau International de Connaissances sur les Femmes en Politique (iKNOW Politics). Présidente de l’Association Femmes Leadership et Développement Durable (AFLED) qui œuvre pour le développement de la femme et des filles.  Elle est engagée dans le plaidoyer pour la justice climatique et le renforcement de la résilience des femmes africaines. Mariam a participé au premier Forum du Président Obama avec les jeunes leaders en 2010.  Mariam a une expérience panafricaine avec l’Union Africaine en tant que Observateur électoral. Co-auteur du manuel Genre et Election publié au Mali en 2013. Membre du Groupe Consultatif d’ONU Femmes. Médaillée du Mérite. Harvard Kennedy School of Government Women and Power Alumni.

Dr. Jane Parpart

Jane L. Parpart est professeur émérite à l’université Dalhousie aux études en développement, genre et histoire, ainsi que professeur auxiliaire à l’École de développement international et mondialisation à l’université d’Ottawa et en Sociologie, Études africaines et l’Institut de l’économie politique à l’université Carleton. Son travail de doctorat a traité des relations de travail et de formation des classes dans les mines du Copperbelt en Zambie. Elle a poursuivi son analyse en y incorporant des questions de genre dans les mines de cuivre ainsi que sur le rôle de genre dans les projets et programmes de développement. Elle était codirectrice d’un projet de l’ACDI sur les études de femmes au Nigéria, basé aux universités d’Ife et d’Ibadan. Elle a aussi été directrice pour l’université de Dalhousie d’un projet de l’ACDI mené par Agriteam sur les femmes en Indonésie. Avec la professeur Pat Connelly elle a dirigé un institut d’été financé par le CRDI sur le genre et le développement qui a réuni des universitaires, des expertes de développement et des activistes de nombreux pays. De ces activités elle a tiré l’inspiration pour des articles sur le renforcement des femmes, les femmes et le développement, ainsi que sur le féminisme, le postmodernisme et le développement. Depuis quinze ans elle est de plus en plus préoccupée par les questions d’inégalité de genres, des formes de masculinité et les conflits, en particulier dans le cas du Zimbabwe. Elle écrit actuellement sur le genre, le silence et le pouvoir dans les lieux non sécuritaires et sur de nouvelles approches aux questions de femmes, paix et sécurité.

Ketty Nivyabandi

Ketty Nivyabandi est une fervente défenseur de justice sociale et des droits de la personne. Elle est venue au Canada, après que ses efforts à mobiliser et mener des manifestions pour la paix dans son pays d’origine, le Burundi, l’ont obligée à s’exiler. En tant que réfugiée, Ketty poursuit ses efforts pour dénoncer les violations des droits de la personne qui se poursuivent au Burundi, et en particulier ceux contre les femmes. Elle a témoigné devant la Chambre des Communes pour défendre les droits et a parlé aux médias internationaux sur les droits de la personne, les enjeux des réfugiés et l’impact des conflits sur la vie des femmes. Elle est membre fondateur du “Mouvement des femmes pour la Paix et la Sécurité” du Burundi, une voix forte et apolitique qui essaie de s’assurer que les femmes sont bien représentées à la table de négociation pour la paix. En tant qu’Associée pour les médias de la Nobel Women’s Initiative, elle travaille à faire résonner les voix et la vision féministe des gagnantes du prix Nobel, ainsi que des femmes leaders de la base et des régions en conflit dans les médias nord-américains et mondiaux. Elle est aussi membre du Réseau Femmes, Paix et Sécurité au Canada. Avant de travailler au Nobel Women’s Initiative, Ketty a travaillé avec le Département d’État américain au Burundi, où elle a géré le programme “American Spaces” et comme une spécialiste de communications pour les Nations-Unies en Ouganda. Ketty a étudié en relations internationales et a travaillé comme journaliste. Elle a également publié de la poésie.

 

 

Comité directeur
Groupe de réflexion sur l’Afrique
Twitter:
 @AfricStudyGroup  | www.africastudygroup.ca

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