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When:
November 15, 2017 @ 12:00 – 14:00
2017-11-15T12:00:00-05:00
2017-11-15T14:00:00-05:00
Where:
FSS 4004
Social Sciences Building
120 University Private, Ottawa, ON K1N 6N5
Canada
Cost:
Free

Le Groupe de réflexion sur l’Afrique est très heureux de cosponsorisé avec le Centre d’études en politiques internationales (CÉPI) de l’Université d’Ottawa un panel qui va discuter: 

Faire une différence – une évaluation du legs de la première femme présidente élue d’Afrique

Date: le 15 novembre 2017, à 12h

Lieu: FSS 4004, 120 University Private

Ellen Sirleaf-Johnson quittera ses fonctions en janvier 2018 après 12 ans et deux mandats comme Présidente du Liberia – la première femme élue comme chef d’état en Afrique. Son élection en 2005 était largement perçue comme une victoire pour les femmes, et ses contributions aux droits des femmes étaient reconnues lorsqu’elle a reçu le prix Nobel de la paix en 2011. Pourtant, le bilan de la présidente Sirleaf est mitigé. On lui attribue le mérite d’avoir maintenu la paix et la stabilité après 14 ans de conflit armé brutal, mais les critiques affirment qu’elle n’a pas fait assez pour améliorer la condition des femmes libériennes, en particulier leur représentation dans la haute fonction publique. Il y a, par exemple, moins de femmes à la législature nationale qu’au moment où elle a été élue pour la première fois, et seulement quatre des 21 membres de son cabinet sont des femmes. Au cours du cycle électoral de cette année, la présidente s’est engagée à faire campagne pour les femmes, tout en prenant ses distances par rapport au féminisme, le caractérisant comme une forme d ‘«extrémisme». Ce panel prend la fin de la présidence de Sirleaf comme un point d’entrée pour discuter de l’héritage de la première femme présidente d’Afrique et aussi pour réfléchir sur l’impact des femmes dans la politique de haut niveau en Afrique.

Cet événement est coparrainé par le CÉPI et le Groupe de réflexion sur l’Afrique.

Panélistes:

Dr Robtel Neajai Pailey est un universitaire libérien, activiste et auteur du livre sur l’anti-corruption pour enfants, Gbagba. Fort de 15 années d’expériences professionnelles combinées en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord, Robtel possède une expertise dans l’économie politique du développement, de la migration, de la citoyenneté, des conflits et du redressement post-conflits. Ses écrits académiques et populaires ont été publiés dans des revues spécialisées, y compris les Affaires africaines; des livres publiés y compris sur Le Leadership dans l’Afrique post-coloniale: Tendances transformées par l’indépendance; les journaux, y compris l’International New York Times; et des magazines, y compris New African. Diplômé des universités SOAS, University of London, Oxford et Howard, Robtel est présentement  chercheur à la chaire Ibrahim à la Banque africaine de développement à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

Jane L. Parpart a enseigné à l’Université Dalhousie au Canada, à la London School of Economics, au Gender Institute, à l’Université des Antilles à Trinidad et est présentement  professeure adjointe à l’Université du Massachusetts à Boston, à l’Université Carleton et à l’Université d’Ottawa. Elle a publié des livres et des articles sur le genre et le développement en Afrique, les masculinités dans les relations internationales, le genre dans les situations de post-conflit et le genre dans la vie urbaine, en particulier à Bulawayo, au Zimbabwe. Elle est aussi présentement impliquée dans un projet explorant le genre, le silence et le pouvoir dans des sites sans sécurité avec le Dr Swati Parashar et un projet de livre avec le Dr Rebecca Tiessen sur comment repenser les femmes, la paix et la sécurité à partir d’une perspective de genres.

Présentation des panelistes:

La professeure Rita Abrahamsen est directrice de la CÉPI, professeure à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales, et experte en politique et sécurité en Afrique.

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